Tant de larmes Que tu n'as pas laisse couler Y a trop de mal Que tu as trop longtemps cache Tu t'es piege emprisonne Je n'ai rien a te reprocher Toi
Tous ces mots Qui chantent au fond de moi Comme de l'eau Qui coule a travers moi De simples gestes Papillons sur les doigts Ce qu'il en reste Leger et
Qu'elle soit de pierre ou de marbre Un jour la facade se lezarde On lit le temps qui a passe On sent la vie qui a marque D'une empreinte indelebile Cicatrice
Il revait les jours meilleurs D'un autre pays, d'un ailleurs Il n'a trouve que misere Et mepris. Sans commentaires En depit des coups du sort Il est
La nuit Pose son voile sombre Sans bruit Sur un theatre d'ombres Paris qui s'allume La Seine et la lune Qui passe et qui fume Au loin... La nuit Le passe
A courir Du Pacifique a l'Inde On voulait quoi ? On voyait partout des sardines Alignees dans d'l'huile de moteur Fallait donc qu'on couse a nos jeans
Ce matin je m'suis reveille La tete a l'envers Et les pieds sur l'oreiller Debout Sur les deux mains j'ai decide De passer toute la journee A voir la
Sur les murs d'indifference La pluie va effacer Des questions sans importance Graffittis delaves Les gens presses par l'orage Rentrent allumer leur tele
J'aime ta peau cannelle Et tes doux baisers sucres Tes longues jambes de gazelle Autour de moi, prisonnier Ma sentinelle Et ne laisse plus parler Que
Il fait froid dehors Rechauffons nos corps Cette chaleur que l'on gache Ce soleil qu'on se cache Pour le chercher ailleurs... Dans notre monde a nous
Tout s'allume Comme un bal Elles sont belles, ils sont beaux Dans la lune Sous l'etoile Avec les animaux Sans costumes Sans voiles Sans blousons perfecto
C'est difficile Cette peur et ces peines Qui nous retiennent C'est difficile Parfois de dire : Je t'aime A ceux qu'on aime Quand la vie passe Le temps
O parfum des fleurs d'avril Subtiles essences Vagues vapeurs que le vent depose En substances Comme ces fumees volatiles D'etrange apparence Reveillant
Je n'aurais peut-etre pas du Vous l'avouer Moi qui vous aimais en silence Vague trop longtemps retenue Tout a change Vous avez repris vos distances J
Il a choisi de quitter son ile Comme on parie sur l'impossible Preferant la douleur de l'exil A son avenir invisible Petit homme au c?ur simple et leger
Une loge, un long couloir Un escalier dans le noir Nausee Brouillard Approcher de la rumeur Et sentir battre son c?ur traquer La peur Soudain la chaleur
Comme un dimanche en province Une porte qui grince Et se ferme Sur le gris De nos vies Avant que de guerre lasse Ne s'installe a nos places Soit la haine
A l'abris du froid dehors Quand bien au chaud je m'endors Je glisse et m'abandonne Sur des melodies bizarres Des mots si beaux qu'ils m'etonnent Mais